La ligne Parallel World (D2018) dans la grotte du monde de demain dans les Dolomites, escaladée pour la première fois en 16, est considérée comme l'une des voies d'outillage à sec les plus difficiles au monde. Début mai, le guide de montagne bulgare Victor Varoshkin a été le premier grimpeur à répéter la ligne dans le pur style de dry tooling.
Qu'est-ce que Burden of Dreams (9A) en bloc ou Silence (9C) en escalade sportive Monde parallèle (D16) en dry tooling : Un des parcours les plus difficiles au monde. La voie ouverte en décembre 2018 par le Polonais Dariusz Sokołowski dans le La grotte du monde de demain Dans les Dolomites, cela n'a pu être répété que quelques fois jusqu'à présent. Le guide de montagne bulgare a été le premier alpiniste à le faire Victor Varochkine Marquez l'itinéraire dans le pur style d'outillage à sec.
Pourquoi ce détail est-il si pertinent ? Lorsqu'on parle de DTS ou Dry Tooling Style, la figure de 4 n'est pas utilisée lors de l'escalade, ce qui nécessite une technique de pied beaucoup plus complexe et ajoute beaucoup de piquant supplémentaire aux méga lignes fortement en surplomb comme Parallel World.
Pas à pas pour s'en sortir
Victor Varoshkin a projeté Parallel World (D16) pendant une bonne douzaine de jours jusqu'à ce qu'il se sente prêt à gravir la ligne. La seule façon de survivre à un itinéraire aussi interminable était de l'aborder étape par étape, a déclaré le guide de montagne bulgare.
Tous les itinéraires restants
Après la première répétition de Parallel World, Victor Varoshkin a utilisé son excellente forme pour gravir toutes les voies restantes du Tomorrow's Wold Cave First Go. Ce serait:
- Indice de peur (D12)
- Bord de demain (D13)
- Laissez-les manger du gâteau (D13+)
- Oubli (D14)
- Je Ne Sais Quoi (D14+)
- Le Monde de Demain (J14/14+)
- Invocation (D14+)
- Connexion française (D15-)
- Une ligne au-dessus du ciel (D15)
« Pour avoir une meilleure idée du jugement, je me suis lancé le défi de flasher tous les parcours de la grotte du Monde de Demain », explique Victor Varoshkin. Le terme flash n'est peut-être pas tout à fait approprié dans ce cas, car certains itinéraires auraient des passages communs.
"Mais à cause de ma mauvaise mémoire et de la longueur des voies, j'ai toujours eu l'impression d'avoir grimpé en un éclair."
Oblivion (D14) lui a semblé le plus dur. «À mi-chemin, j'étais sur le point de m'envoler. Ce n'est qu'avec beaucoup de difficulté que j'ai réussi à atteindre le déviateur. Je suppose que cela a quelque chose à voir avec les 20 kilomètres et 1200 XNUMX mètres de dénivelé que j'ai parcourus la veille avec mon enfant dans mon sac à dos."
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Crédits: Photo de couverture Alexandre Valtchev